Un salarié sur deux ignore les modalités d’accès aux aides sociales proposées par son entreprise, selon une étude menée en 2023. À la MAAF, le comité social et économique (CSE) déploie chaque année un budget conséquent pour des actions qui dépassent le simple cadre réglementaire. Les élus multiplient les dispositifs, du soutien individuel à l’organisation d’événements collectifs, afin d’assurer un impact direct et mesurable sur la qualité de vie au travail.
Ce fonctionnement s’appuie sur des règles précises, mais laisse aussi place à l’initiative locale. Les retours des salariés témoignent d’une évolution constante des prestations, adaptées aux besoins réels du terrain.
Plan de l'article
Niché au cœur de la gouvernance mutualiste de la MAAF, le comité social et économique (CSE) se distingue comme un acteur tangible, accessible, pour chaque collaborateur. Oubliez l’image d’une institution lointaine : le CSE tisse, au quotidien, ce lien singulier entre les salariés et la direction, là où se jouent les intérêts réels de chacun. Il porte la voix des équipes, s’implique dans la défense des droits, éclaire les décisions majeures et veille à inscrire la qualité de vie au travail dans le concret, loin des discours creux.
MAAF, depuis sa création en 1950, avance sur un modèle unique : ici, les assurés deviennent sociétaires et prennent part activement à la vie de l’entreprise. Cette philosophie irrigue l’action du CSE, fidèle à une gouvernance participative et transparente. Aujourd’hui, au sein du groupe Covéa aux côtés de MMA et GMF, la MAAF revendique haut et fort sa culture mutualiste. Le CSE en est la courroie de transmission, attentif à l’équilibre, à la solidarité et à la reconnaissance, jusque dans le quotidien le plus concret.
Impossible de réduire le CSE MAAF à une simple instance de représentation. Il structure, il propose, il accompagne. Son action s’étend du dialogue social à la mise en place de solutions sur mesure, directement inspirées des réalités du terrain. Qu’il s’agisse de prévention des risques, d’accompagnement individuel ou de dynamique collective, le CSE s’impose comme un acteur de la performance durable : chaque salarié voit sa voix comptée dans le projet commun.
Comment fonctionne concrètement le CSE et qui le compose ?
Le comité social et économique (CSE) de la MAAF, loin d’être un simple rouage administratif, repose sur une équipe élue et diverse, composée de représentants du personnel issus de tous les métiers de l’entreprise. Leur mission ? Maintenir un dialogue permanent avec la direction, faire remonter les réalités du terrain et veiller à leur prise en compte. À la barre, Thierry Bertrand, président du CSE, orchestre une équipe de direction engagée. Les membres, renouvelés tous les deux à quatre ans selon les mandats, défendent la place des salariés lors des discussions stratégiques ou des décisions collectives.
Ici, la gouvernance participative n’est pas un slogan. Administrateurs élus, délégués syndicaux, anciens membres des commissions santé et sécurité : tous collaborent avec la direction MAAF et le groupe Covéa. Transparence, éthique et dialogue social deviennent des réalités palpables : chaque dispositif social ou culturel s’appuie sur une concertation, un échange, une écoute.
Pour accompagner et informer tous les salariés, le CSE a fait le choix du numérique : portail en ligne, application mobile, tout est pensé pour simplifier l’accès aux démarches et aux informations. Activités, demandes, droits, avantages… la gestion se veut fluide, immédiate, à portée de main.
La composition du CSE évolue au fil des élections et des besoins de l’entreprise. Mais une constante demeure : garantir à chaque site, à chaque génération, une représentation équitable. Grâce au budget financé par la MAAF, le CSE peut mener ses missions sociales et culturelles, veiller au bien-être au travail et répondre aux attentes concrètes des salariés.
Des actions visibles : initiatives, événements et soutiens accessibles à tous
Le comité social et économique (CSE) de la MAAF agit au quotidien par des mesures tangibles. Voici, de façon concrète, quelques exemples des initiatives déployées pour soutenir les salariés :
- Chèques vacances et chèques cadeaux pour alléger le budget familial
- Aides à la garde d’enfants ou bourses d’études pour accompagner les moments clés de la vie
- Remboursements d’activités sportives, ateliers bien-être, bilans de santé annuels pour prendre soin de l’équilibre personnel
Le CSE ne s’arrête pas à l’attribution d’aides financières : il orchestre chaque année de véritables temps forts, où salariés et familles se retrouvent. Sorties culturelles, fêtes de fin d’année, animations sportives… Ces rendez-vous renforcent les liens, cultivent l’esprit mutualiste, celui qui unit la MAAF à ses origines.
La gestion moderne s’appuie sur un portail en ligne et une application mobile. Accès aux démarches, suivi en temps réel, informations sur les nouveaux avantages : tout a été pensé pour offrir une expérience fluide et transparente. Parmi les dispositifs proposés, on retrouve aussi des congés supplémentaires, un accompagnement psychologique, des formations continues et des remises sur les produits du groupe Covéa.
Garantir l’accessibilité des avantages sociaux reste au centre des préoccupations. Chaque salarié, indépendamment de son poste ou de son ancienneté, bénéficie d’un accompagnement sur mesure. Le CSE se mobilise également pour les familles, avec une attention particulière à la scolarité, à la parentalité, à la prévention des risques. Ici, la politique sociale et culturelle de la MAAF se mesure à l’aune des actes, pas des discours.
Pourquoi s’impliquer davantage dans la vie du CSE peut faire la différence
Le comité social et économique (CSE) de la MAAF va au-delà de la défense des intérêts collectifs. Il incarne une gouvernance participative ancrée dans les valeurs du groupe Covéa. Prendre part à la vie du CSE, c’est soutenir un dialogue social vivant, qui nourrit la qualité de vie au travail. Les élus, épaulés par l’ensemble des salariés, restent connectés aux réalités du terrain : suggestions, alertes, retours sur les risques psychosociaux, tout remonte et se discute.
Transparence et éthique ne sont pas de vains mots. Les échanges réguliers avec la direction bâtissent une confiance solide. Ici, négocier, c’est chercher ensemble des solutions. Les progrès en matière d’égalité professionnelle ou d’inclusion sociale naissent de cette implication quotidienne. Plus la représentation est active, plus les mesures adoptées collent aux besoins réels.
S’investir dans les travaux ou consultations du CSE, c’est aussi contribuer à façonner une entreprise à taille humaine, attentive à la prévention des risques psychosociaux et à sa responsabilité sociale et environnementale. L’influence du comité dépasse le cadre de la MAAF : elle touche tout le groupe Covéa et tous ses partenaires.
Voici trois axes concrets sur lesquels repose cette implication collective :
- Égalité des chances
- Amélioration des conditions de travail
- Soutien à l’équilibre vie professionnelle et personnelle
Chacun, à son niveau, peut prendre part à la dynamique collective. La force du groupe façonne les politiques sociales, dessine un modèle où chaque voix s’exprime. Prendre la parole, s’engager, c’est déjà peser sur le quotidien et donner du souffle à l’entreprise de demain.
